Sunday, December 21
Thursday, November 6
"Les femmes font les pires folies pour allumer une passion et prennent la fuite devant l'incendie"
Madame Junot herself is a little woman, with a stature indecisive between the fat and the en bon point. Her face could never have been pretty or beautiful, but piquant, original, and voluptuous, Her eyes are dark and full of fire, and her bosom, though she must be between fifty and sixty, firm and smooth as satin. So that in spite of wrinkles, rouge, and a certain air of age about the mouth, one can understand, that two years ago M. Balzac was her lover, and that, at the present moment, there are many with similar pretensions.
She has a ton bref and tant soit peu brutal, which has as much of the vivandière as the maréchale ¡n it ; but she is spirituelle, quick, and full of that kind of passion to speak, which puts a conversation at once en train. skteches of paris
"Cette femme a vu Napoléon enfant, elle l'a vu jeune homme encore inconnu, elle l'a vu occupé des choses ordinaires de la vie, puis elle l'a vu grandir, s'élever et couvrir le monde de son nom! Elle est pour moi comme un bienheureux qui viendrait s'asseoir à mes côtés, après avoir vécu au ciel tout près de Dieu !"
Ainsi parlait Honoré de Balzac de Laure Junot, duchesse d'Abrantès. Et il est vrai que peu d'existences composent un roman d'amours et d'aventures aussi mouvementé que la sienne, avec une pareille succession d'imprévus et un pareil heurt de contrastes.
Thursday, October 2
Sunday, August 3
Wednesday, July 16
Napoleão envia Junot para Lisboa
"Il est nécessaire que tu t'éloignes quelque temps de Paris cela est convenable pour détruire tous les bruits qui ont couru sur ma sœur et sur toi. Je défie un être au monde d'en parler encore en voyant la confiance dont je vais t investir. Tu auras à Lisbonne une autorité sans bornes. Tu ne correspondras qu'avec moi . Tu resteras toujours gouverneur de Paris. Allons mon vieil ami le bâton de maréchal est là bas.
Il lui tendit la main. Junot la saisit et pleura comme un faible enfant:
Et cependant vous m éloignez de vous, répétait il toujours"
Memoires de Madame la duchesse d'Abrantes By Abrantes, Laure Junot Abrantes:
Il lui tendit la main. Junot la saisit et pleura comme un faible enfant:
Et cependant vous m éloignez de vous, répétait il toujours"
Memoires de Madame la duchesse d'Abrantes By Abrantes, Laure Junot Abrantes:
"Livres défendus même pour ceux qui ont des permissions"
"Mais pour donner une idée des livres qui étaient refusés à l'époque dont je parle je vais transcrire ici une liste des ouvrages refusés et refusés avec motif. J'ai cette liste par un hasard tout singulier. Les Espagnols qui la liront se rappelleront parfaitement qu'en 1805 et 1806, et même 1808, les ouvrages que je vais citer étaient encore plus qu' à l'index. J'ajouterai le motif donné par l'Inquisition.
"Livres défendus même pour ceux qui ont des permissions"
in
Memoires de Madame la duchesse d'Abrantes
"Livres défendus même pour ceux qui ont des permissions"
in
Memoires de Madame la duchesse d'Abrantes
Friday, April 11
The exploring officers
Wellington got intelligence from his own well-organized service. The best of these agents were four British officers, Grant, Waters, Hay, and Cocks ; all excellent horsemen, good linguists, and, needless to say, cool heads...
Wednesday, March 26
Wednesday, March 12
a dispatch to Waters
Lieut. General Viscount Wellington, K.B., to Lieut. Colonel Waters.
' Cortiço, 20th September, 1810.
' MY DEAR WATERS,
' I am very much obliged to you for all the information you have sent me, and I beg you will come to head quarters with Captain Goldfinch, when you please.
' I am very much obliged to you for all the information you have sent me, and I beg you will come to head quarters with Captain Goldfinch, when you please.
' Believe me, &c.; ' WELLINGTON.
Saturday, February 16
Souvenirs d'une ambassade et d'un séjour en Espagne et en Portugal, par Laure Junot
Tuesday, January 1
Mémoires de Madame la duchesse d'Abrantès: ou Souvenirs historiques sur ... By Laure Junot Abrantès
Ce fut le jeudi saint de année de 1805, à quatre heures du soir, que j'arrivai devant Lisbonne. Je fus frappée d'admiration et sans me rappeler aucune des louanges qui m'avaient été répétées mille fois de Paris à Madrid, je me laissai charmer par cette magnifique et splendide décoration qui s offrit à moi. Il n'éxiste aucune ville qui présente je crois le coup d œil de Lisbonne vue en arrivant d'Espagne; cette plaine d'eau, formée par le Tage, qui est dans quelques endroits d'une lieue et demie de largeur, bordée à l'autre rive par une ville immense bâtie en amphithéâtre sur les collines qui bordent le fleuve, tandis que sa rade remplie d'une foule innombrable de vaisseaux présente une forêt de mâts portant les couleurs de cent nations différentes"
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